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Au Brésil, remarques et réflexions générales n°1.
Les embouteillages sentent pas trop mauvais, les Brésiliens utilisent
massivement l'alcool comme carburant. Il n'y a pas de train sur
longue distance, les bus les remplacent du coup ils sont pas mal et ils vont
partout, en couvrant des distances incroyables, jusqu'à 4000 bornes.
L'aliment national c'est le haricot, surtout noir, rubis foncé ou
rouge, toujours délicieux, le plat le plus connu, un ragoût, c'est
la ''feijoada''.
La boisson emblématique : la caïpirinha, un cocktail d'alcool
de canne, citron vert, sucre et glace pilée, un régal. Il n'y
a pas de bestioles tropicales piqueuses habituelles sur la cote, même
les moustiques sont pas légions. Pour la latitude on trouve plus spectaculaire
ailleurs. Quelques beaux lézards mais la vedette revient aux papillons,
géants, couleurs fluos, rouges et bleus, jaunes citron, ils en jettent !
Pas encore vu d'oiseau-mouche, mais il y en a, paraît-il.
Les bagnoles c'est toujours les coccinelles, bien que leur production
ait cessé depuis peu, il y en a légion, avec tous les dérivés construits
sur leur base : les buggys bien sur, ça on connaît mais aussi
des especes de ''look Morgan'' réussis et des
petits coupés ou cabriolets genre ''Alfa Spider'' pas
mal non plus. Au Brésil les piétons n'ont jamais priorité,
l'oublier est gravement mortel. La nuit tu peux (doit !) griller
les feux rouges, c'est normal, le jour tu es censé pas le faire
car ce n'est pas normal.
Les bordilles sont une institution nationale, y'en a partout, en tas,
puantes. Même dans des endroits adorables, Olinda, Cachoeira, au détour
d'une rue, hop ! Un joli tas. Il semble que passé un certain
volume on ramasse plus…