Alors voilà, Ouro Preto en fait n'est pas du tout une ville touristique, on a jamais vu de visiteurs par ici, donc les banques n'y changent pas le fric ! le comble ? le guichetier me conseille d'aller changer au noir ! Je te jure, ce pays réserve de ces surprises. Si au moins c'était avantageux au noir, mais même pas, c'est toujours plus bas que le meilleur cours. En fait il y a trois taux, j'invente pas : l'officiel, le plus bas qui doit servir aux échanges commerciaux import-export probablement, ensuite le ''tourisme'', le plus haut, celui auquel les banques achètent les dollars aux touristes puis le ''parallèle'', entre les deux, donné à la télé bien qu'il soit théoriquement clandestin. Ajoutons que les traveller's sont payés à l'inverse de tous les autres pays moins que les banknotes et qu'ils ne connaissent que le dollar, les autres monnaies n'existent tout simplement pas. Du coup j'ai changé que vingt dollars, quand j(ai plus rien je me tire de la.

Généralités 5.
Un chien au Brésil c'est un ''cao'', prononcez con, et comme ça va bien à cette bestiole nullasse, pour être cao c'est cao un chien, ça chie partout, ça mord (mais c'est de la faute au mordu car il a peur !), ça pue et ça aboie, et ici, hélas contrairement au reste du Brésil ils ont des cao en pagaille, alors la nuit en avant le concert…
Une cabine téléphonique ici s'appelle un ''orelhao'', traduisez ''oreillasse'', à cause de leur forme de grande oreille.
Au Brésil, se laver est une aventure aussi périlleuse que traverser voie rapide. Les chauffe-eau sont souvent des appareils électriques en forme de poire d'arrosoir qui contiennent une résistance, placés directement à la sortie de la flotte au dessus de la tête du douché, pour la chauffer (mal) au passage. Comme c'est toujours mal isolé, il suffit de toucher le machin, par exemple en se rinçant sous les bras, et bonjour la décharge ! Quand c'est la main gauche , vaut mieux pas être cardiaque !