Un métier à Buenos Aires : gardien de clébards. Tu prends les chiens-chiens à leurs mai-maitres le matin, tu les promènes toute la journée et tu les rends le soir. On en voie plein les parcs avec dix chiens en laisse attachés à la ceinture, on dirait des grosses méduses…Ils ont toujours les cheveux longs, (obligatoires ? ), du muscle, des mecs toujours jeunes et plutôt beaux ...

Une chose bien c'est les croissants, 99 fois supérieurs aux nôtres, parfumés, légèrement sucrés, petits, digestes, en plus ils en font à la crème, sans beurre, un régal.

C'est le musée de l'auto cette ville. Des caisses somptueuses dans les petites rues, belles américaines des années 50, des européennes des années 40, carrosseries aérodynamiques en goutte d'eau, mes préférées, y'a même des vrais tacots d'avant guerre, vu une Ford “T”.

Tout ça rouille peinard, à l'abandon.

Buenos Aires signifie “les bons airs” il me semble.

C'est justifié, même les jours de canicule il y a du vent et les chaleurs sont régulièrement balayées par des coups de vent frais du sud qui laissent un beau ciel bleu Provence pas désagréable…