Il s'en passe pas trop à Rio…Faut dire qu'après le séjour délirant de l'an passé, faudrait se lever matin pour en faire autant et il fait maintenant quarante degrés à l'ombre, alors se lever tôt…

Revu la Lucia qui vient de se faire virer de son boulot parce qu'elle est malade, sympa le Brésil socialement parlant, ils savent faire simple. Des problèmes de glande thyroïde elle a, risque de gonfler ou de maigrir, maigrir…Tout ça n'est pas rigolo.

Je suis allé deux fois sur le bateau du Dado à Angra. Il a achète un grand dériveur (12m) en fer. Son bateau à des bons cotés, 80 cm de tirant d'eau, solide évidemment, assez beau, mais hélas des très mauvais, son poids de huit tonnes, il est ridiculement sous toilé d'après moi pour le petit temps fréquent dans ces contées, avec des voiles à la con, à enrouleur. Ajoutons des problèmes de rouille pas trop graves mais c'est tout de même du boulot.

Le pire c'est que j'imagine mal comment on peut passer sa vie dans ce bateau sous les tropiques, il a été fabrique en France, il fait une chaleur intenable la dedans, l'aération ''tout sur le pont'' n'est pas adaptée, il faudrait au moins doubler les ouvertures, en percer sur la coque…En plus il semble qu'il y a des gros problèmes pour l'enregistrer au Brésil, le bateau est pour le moment sous pavillon français.

Je sens le Dado engage dans un trip d'emmerdes qui va durer. Il a une nouvelle copine, Fatima, “gentille” mais un rien indolente, plutôt jolie mais grande renifleuse, mais alors le tout beau renâclement de compète et à répétition, elle a le nez qui coule de longue, pourquoi personne sait, en tous cas elle a arrête ses remèdes homéopathiques car elle devenait accro, même, alors ! Je te jure, tous ces beaux penaltys culesques qui se perdent…